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Tableaux, photographies, mais également sculptures, réalisations plastiques ou projections, chaque objet d’art s’expose de façon à occuper l’espace et jouer avec les lumières et les regards.
Comme on peut en voir par exemple sur le site Le Collectionneur moderne, il existe plusieurs systèmes pour accrocher des tableaux. Tout dépend de leur taille, de leur poids, et de la manière dont chaque exposant souhaite mettre en valeur ses créations afin de leur donner de la visibilité. De la lisibilité aussi.
Un document de l’académie de Créteil, destiné à l’origine à des enseignants, passe en revue le choix des supports, les modes d’accrochage et d’agencements possibles, sans oublier la signalétique qui peut être mise en place (titre, voire explications, etc.).
L’environnement lumineux est essentiel à prendre en compte dans une exposition. Des sources de lumière complémentaires peuvent servir à « déboucher » des ombres, à condition de ne pas éblouir les visiteurs.
Les spécificités de la salle Malraux mise à dispostion des exposants
Dans le centre André Malraux de la commune, pour des raisons compréhensibles liées à l’aménagement des lieux, il est interdit d’utiliser clous et punaises sur les murs qui ne sont pas équipés à cet effet, ni de monter des suspensions au plafond.
Les grilles d’accrochage fournies aux exposants sont assez faciles à monter et à déplacer. Chacune mesure 1×2 m (largeur x hauteur). On peut en associer plusieurs les unes à côté des autres pour constituer un plan élargi.
Des tables pliables permettent de poser des éléments à hauteur de vue, pour des réalisations d’une volume moyen. Les objets lourds doivent reposer sur un système de fixation indépendant, sans risque de chute.
Une fiche explicative sur les différentes configurations de ce matériel est tenue à disposition des exposants.